La capitalisation boursière correspond à la valeur boursière actuelle d’une entreprise et elle est calculée en multipliant le nombre d’actions par le cours. Avec une capitalisation boursière s’élevant à 3,4 milliards de dollars américains, l’entreprise technologique américaine Apple était l’entreprise la plus cotée au monde en octobre 2024. 

Les cryptomonnaies sont des monnaies numériques / virtuelles qui reposent sur des technologies cryptographiques et relèvent généralement d’un système décentralisé. Elles permettent d’effectuer des transactions directes sans passer par des instances intermédiaires comme les banques. La première cryptomonnaie a été le bitcoin mais, aujourd’hui, il en existe des milliers d’autres.  

Les hedge funds sont des fonds d’investissement spécialisés qui sont destinés à générer des rendements élevés grâce à des stratégies de placement très diversifiées, que les marchés soient orientés à la hausse ou à la baisse. Ils sont souvent moins réglementés que les fonds d’investissement traditionnels. 

IPO est l’abréviation de «Initial Public Offering», ce qui signifie une introduction en bourse, c’est-à-dire la première offre publique d’actions d’une société. Cette opération porte aussi le nom de nouvelle émission. Les IPO représentent l’une des diverses possibilités dont disposent les entreprises pour pouvoir lever des capitaux.  

Un indice directeur est une sorte de baromètre pour l’évolution des titres de différentes entreprises. L’indice suisse le plus connu, à savoir le SMI, porte sur les actions des 20 sociétés anonymes les plus importantes et les plus cotées du pays. Quant à l’indice directeur de la bourse de Tokyo, le Nikkei 225, il regroupe les 225 valeurs boursières les plus importantes du Japon. Un indice directeur représente donc toujours une partie d’un marché et rend compte de son évolution. Les indices permettent notamment de comparer les évolutions respectives des bourses de différents pays.

Il s’agit littéralement d’obligations «pourries», c’est-à-dire à haut risque. Elles sont émises par des entreprises ou des États ayant une mauvaise solvabilité. En les achetant, on prête de l’argent à une entreprise dont la notation est faible. Vu le haut niveau de risque associé à ces placements, les paiements d’intérêts correspondants sont plus élevés que pour d’autres obligations. En résumé, il s’agit d’obligations qui se caractérisent par un montant élevé de produits d’intérêts mais aussi par un risque important de défaillance.